Réglementation qualité de l'air intérieur : les nouvelles normes à connaître en 2025
L’air que nous respirons à l’intérieur des bâtiments est souvent plus pollué qu’on ne le pense. Et dès janvier 2025, la réglementation qualité de l’air intérieur s’intensifie. Les établissements qui accueillent des publics vulnérables devront répondre à de nouvelles obligations.
Si vous dirigez un EHPAD, un centre médico-social ou une structure d’accueil spécialisée, vous êtes directement concerné. Voici ce que les nouvelles normes qualité de l'air intérieur impliquent, et comment y répondre efficacement, sans complexité.
Pourquoi la qualité de l'air intérieur devient une priorité sanitaire?
Nous passons plus de 80 % de notre temps dans des lieux clos. Dans les établissements de santé ou médico-sociaux, c’est parfois 100 %. Les fenêtres restent fermées, la ventilation est parfois insuffisante, et les polluants s’accumulent.
Résultat : un air intérieur chargé en particules fines, en CO₂, en composés chimiques comme le formaldéhyde. Chez les personnes âgées, immunodéprimées ou fragiles, cela peut aggraver des troubles respiratoires, neurologiques ou cardiaques.
La qualité de l’air intérieur n’est plus un sujet secondaire. C’est une priorité de santé publique. Et un critère incontournable pour assurer le bien-être dans les structures d’accueil. Améliorer la qualité de l’air intérieur est désormais une démarche à la fois préventive et stratégique.
Normes qualité de l'air intérieur : ce que la réglementation impose en 2025
À partir du 1er janvier 2025, de nouveaux établissements sont soumis aux exigences prévues par la réglementation sur la qualité de l’air intérieur. Cela concerne notamment les EHPAD, les établissements pour personnes handicapées, les centres pénitentiaires pour mineurs ou encore les structures de rééducation. Ces établissements sont considérés comme prioritaires car ils accueillent des populations à risque.
Les obligations quant à la qualité de l’air intérieur sont claires. Il faut mettre en place une évaluation annuelle de l’aération, avec une surveillance du CO₂. Un autodiagnostic global de la qualité de l’air intérieur est à réaliser tous les quatre ans. Si des travaux modifient les volumes ou l’usage des locaux, une campagne de mesures des polluants est obligatoire. Et lorsqu’un dépassement est constaté, un plan d’action correctif doit être établi et suivi. L’objectif est non seulement de mesurer la qualité de l’air, mais surtout de maintenir la qualité de l’air intérieur à un niveau acceptable tout au long de l’année.
Mesurer la qualité de l’air intérieur ne suffit pas : il faut agir
Installer un capteur d’air est une bonne chose. C’est souvent la première étape d’un plan de surveillance de la qualité de l’air intérieur. Mais quand les données révèlent un confinement ou une pollution persistante, les solutions doivent suivre. Et là, tous les établissements ne sont pas logés à la même enseigne. Ouvrir les fenêtres n’est pas toujours possible. Ventiler mécaniquement nécessite des investissements lourds. Et certains locaux, comme les chambres, sont tout simplement mal conçus pour être aérés efficacement.
Pour toutes ces situations, les purificateurs d’air professionnels apportent une réponse simple et immédiate. Ils ne sont pas imposés par la réglementation, mais ils peuvent parfaitement s’intégrer dans le plan d’action exigé par les normes qualité de l’air intérieur. Et surtout, ils permettent d’améliorer la qualité de l’air intérieur sans bouleverser l’organisation du lieu.
Pourquoi les purificateurs d’air professionnels sont une solution adaptée ?
Un purificateur d’air professionnel capte les particules fines, les polluants chimiques, les allergènes, les moisissures et parfois même les virus. Il fonctionne de manière autonome, silencieuse, sans travaux, ni contraintes lourdes. Placé dans une chambre de résident, une salle d’attente ou un espace de repos, il purifie l’air en continu. Cela permet d’assurer une meilleure qualité de l’air intérieur, même dans des espaces fermés ou faiblement ventilés.
Chez Idéal Santé, nous sélectionnons des purificateurs adaptés aux établissements recevant du public. Nos modèles sont dotés de filtres à air haute performance, de filtres à charbon actif, et répondent aux critères recommandés par les agences de santé. Ce sont des solutions durables, conçues pour s’intégrer dans une démarche de mise en conformité de la qualité de l’air intérieur, mais aussi pour protéger réellement les occupants des bâtiments sensibles.
Ce qu’il faut retenir sur la nouvelle réglementation de la qualité de l’air intérieur
La réglementation sur la qualité de l’air intérieur évolue en 2025 pour protéger les publics les plus exposés. Les nouvelles normes sur la qualité de l’air intérieur s’imposent dans les établissements de soins, les centres sociaux, les lieux d’accueil spécialisés. Il faut mesurer, surveiller, et corriger si nécessaire.
Améliorer la qualité de l’air intérieur, c’est possible, sans bouleverser le quotidien. Et c’est notre mission, chez Idéal Santé, de vous accompagner avec des solutions simples, efficaces et adaptées à vos espaces.
Parce que mieux respirer, c’est mieux vivre.
Découvrez également les impacts de la pollution intérieure sur la santé sur notre blog.
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